Quelle aventure d’effectuer le circuit des Annapurnas dans sa globalité ! Une dizaine de jours à vivre et se déplacer à pied, sans guide pour ceux qui le désirent, dans des lieux que tu découvres au jour le jour. Le massif de montagnes nommé Annapurna comprend 6 principaux sommets. Le plus haut culmine à 8091 mètres, un des points culminant de l’Himalaya. L’objectif de ce circuit va être de découvrir les régions qui entourent ces 6 monts, à l’aide d’un GPS et de tes jambes !
Il faut aller à l’office de tourisme dans le centre de Kathmandu pour posséder son permis de trek. Il est ouvert du lundi au samedi inclus, de 9h00 à 15h00. Tu rempliras deux papiers, joints avec trois photos d’identité afin que l’on te délivre la TIMS Card (15 €) et le droit d’entrée au parc national (10 €). Si tu pars avec une agence de voyage, ils pourront s’en occuper pour toi.
La TIMS Card (Trekkers Information Management System) permet « d’assurer ta sécurité » lors de ton trek. D’après moi c’est surtout utile pour alimenter leur base de donnée et avoir des statistiques détaillées sur les trekkeurs au Népal. Tu devras la présenter à plusieurs checkpoints durant ton parcours, mais si un accident t’arrive, ce sera pas la carte TIMS qui te sortira du pétrin, mais surtout ceux qui t’entourent lors du trek ou ton assurance. Si tu t’apprêtes à faire le circuit Annapurna en solitaire, sache que tu rencontreras des trekkeurs chaque jour. C’est l’un des treks les plus connus du Népal, très bien balisé où des milliers de personnes randonnent chaque année. Il est préférable d’avoir déjà eu une expérience de treks au dessus de 4000 m d’après moi lorsqu’on est en solitaire. Le danger est réel à ces altitudes et il faut en être conscient.
La durée du circuit de l’Annapurna est de 13 à 20 jours. Si tu ne possèdes pas autant de temps, il est possible de prendre bus ou jeep à Jomson pour rentrer sur Pokhara et c’est ce que je te conseille dans ce cas là. On peut également arriver à Manang en véhicule, mais c’est d’après moi bien dommage vu la beauté du spectacle et l’expérience à pied lors de cette première partie.
Concernant la nourriture et le logement, tu en auras pour 15 € par jour, pas plus. Pense bien à prendre l’argent en liquide nécessaire avant le trek, parce qu’il n’y a pas de distributeurs le long du circuit. La location de sac de couchage, veste, bâtons, chaussures est très peu coûteuse (~ 0.5 € par jour et par item dans les magasins de Kathmandu). Bref, au total avec les droits d’entrée et la TIMS card, tu en auras pour 350 € environ.
Le voici, le voilà ! Je te conseille l’application Maps.me en complément pour te guider le long du trek !
J’ai gardé les notes écrites comme tel, jours après jours, excepté pour les 3 derniers jours où je fais un debrief post-voyage. Je m’excuse d’avance pour la qualité des photos, j’étais seulement avec mon smartphone, le reflex ayant subit ma maladresse au Laos…
Réserver un billet pour Dumre, cela coûte 5 €. Les bus partent à 7h00 le matin au même endroit.
5h de trajet avant d’arriver à Dumre où tu devras prendre un local bus pour 1.5 € et 2 h de trajet. Nous sommes tous très serrés dans le bus, à ma droite un jeune népalais très amical, peut-être d’ailleurs un peu trop ! À ma gauche un couple espagnol d’une trentaine d’années également prêts pour le circuit Annapurnas. Nous sympatisons et décidons de commencer le trek ensemble.
On est arrivés sur les coups de 15h, le temps de manger un bout et on en a profité pour s’avancer sur le trek de demain en marchant 2h30 heures jusqu’au village de Bhulbhule.
Il y a plusieurs maisons d’hôtes avec wifi aléatoire, eau chaude, prises électriques et confort sommaire. Tu peux t’en tirer pour moins d’1 € la chambre si tu certifies à l’hôte que tu mangeras le dîner et petit-déjeuner chez lui. Ce village et celui de Khudi juste avant sont tout en pierre avec de petites maisonettes et des locaux très sympas, des plus jeunes aux plus ridés. La nourriture fut bonne et copieuse, mais le prix peut vite grimper, difficile de faire en dessous de 4 € pour le repas du soir et 3 € pour le petit-déjeuner. Toutes les maisons d’hôtes ont un menu imposé concernant les plats et les tarifs donc pas besoin d’aller comparer plusieurs guesthouse à ce propos.
Premier test de pastilles purifiantes, l’eau est claire et sans goût, parfait :).
4h30 de marche, le long de la rivière avec beaucoup de rizières et quelques petits villages. On entend les oiseaux chanter, les singes hurler, une brise d’air frais souffle tandis que le soleil monte, il fait au moins 25°C.
Repas à Ghemu
Arrivés à Chamje à 16h30, nous trouvons une guesthouse au nom de Potala, nous offrant la nuit. Nous devons juste payer la nourriture avec un prix qui augmente logiquement en fonction de l’altitude. Wifi non fonctionnel, eau chaude et confort identique à la guesthouse de la veille, sommaire. Les jambes sont lourdes avec ces 20 km effectués aujourd’hui, mais les montées étaient légères, donc pas de grosses difficultés à noter encore.
Matinée plutôt facile et ensoleillée, contrastante avec une arrivée sous des trombes d’eau à Timang. Heureusement nous tombons sur une maison d’hôtes avec feu de bois et hôtes chaleureux pour passer la nuit.
Lever sous le soleil avec une vue splendide sur les montagnes enneigées, c’est totalement magique ! Aujourd’hui nous montons beaucoup en altitude, heureusement cela s’effectue progressivement durant la journée, nous pouvons avancer rapidement. Nous déjeunons à Pokhari sur une terrasse ensoleillée comme si nous étions au ski. Nous arrivons à 15h30 dans une maison d’hôtes très récente. Malheureusement pour nous, il n’y aura pas d’électricité dans tout le village jusqu’au lendemain. Repas à la bougie, réchauffés au feu de bois, tandis qu’un vent glacial souffle dehors. Nous sommes seuls dans l’auberge, ce n’est pas la grosse ambiance. Avec 22 km dans les jambes, nous ne nous laissons pas prier et allons se coucher tôt dans la soirée.
Lever habituel à 5h45, surprise en ouvrant la porte, des flocons se posent sur le toit des maisons avoisinantes. La visibilité est plutôt faible et l’idée de marcher toute la journée avec les affaires trempées ne nous ravit guère. Nous déjeunons et décidons de prolonger la nuit d’une bonne heure. Nous avons bien fait, car à 7h30 le ciel s’était dégagé, la vue sur les montagnes environnantes était splendide !
Aujourd’hui est une bonne journée d’acclimatation où nous montons à 3850m près du village Ghyaru avant de redescendre et s’arrêter juste avant Manang, à Braka. Malgré la hauteur, dès que nous sommes en montée, il fait très vite chaud ! Des aigles nous surveillent en haut des cimes tandis que patatra ! Nico l’espagnol sent une douleur au genou. Il est contraint de ralentir la cadence et prévois déjà que le lendemain sera un jour de repos bien mérité à Manang. Nous traversons 2 villages teintés d’une fine couche de neige durant la matinée et travaillons notre népalais avec les villageois croisés sur la route. C’est mon dernier jour avec Nico et Maria, le couple espagnol, avec qui j’ai partagé mon début de trek, je suis un peu triste de les laisser, mais j’ai moins de temps qu’eux pour faire le circuit, je n’ai pas le choix de continuer demain.
La veille, au restaurant, je fais connaissance avec Marc et Pedro, encore 2 espagnols, décidément ! Ils font le même parcours que moi durant les prochains jours, nous prévoyons donc de faire la journée suivante ensemble.
Au programme une journée d’acclimatation avec le trek pour se rendre au lac glacé à 4500 m environ soit plus de 1000 m de dénivelé positif avant de redescendre et se rendre à Manang, à 30 minutes de Braka. Le temps est ensoleillé, la journée s’annonce idéale ! L’ascension fut cependant difficile avec une progression lente, je n’ai pas de force dans les jambes et un mal de tête me prend. Les espagnols continuent devant, je les suis de loin, ils arriveront 30 minutes avant moi.
Durant tout le trek on a un panorama incroyable sur les Annapurnas, mais on apprécie d’autant plus la vue lors de la descente lorsqu’on souffre moins ! Ces 3 heures de montées fut longues, surtout sur la fin où la terre se transforme en boue, puis ensuite en neige. Le décors en haut est grandiose, tout est enneigé avec un lac au milieu comme récompense.
Après une descente sportive, nous arrivons à Manang où je déguste un succulent burger ! J’en profite également pour m’acheter des bâtons, enfin ! 8 € la paire pour solliciter mes pauvres jambes durant les ascensions, je dis oui !
Aujourd’hui 3 h de marche seulement pour arriver à Yak Kharka avec une montée progressive jusqu’à 4100m. Le temps est encore parfait, j’ai cependant une douleur derrière le pied gauche me ralentissant. Heureusement j’ai acheté du baume du tigre à 2 € qui va je l’espère soulager les douleurs musculaires et les maux de têtes fréquents.
À notre arrivée nous croisons une trekkeuse se couvrant l’œil, elle s’est fait brûler par le soleil durant un trek la veille au lac Tilicho. Ne pas avoir de lunettes de soleil à cette altitude avec la neige ou l’eau reflétant les rayons peut être très dangereux. Elle devait donc passer sa journée dans le noir aujourd’hui afin que les symptômes se dissipent.
Étant arrivés à 11h, on a trouvé un guesthouse sympathique avec une terrasse pour déjeuner au soleil et reposer les muscles. Le wifi nous coûte 50 centimes d’euros chacun, mais à cette altitude on apprécie pouvoir encore donner des nouvelles à nos proches. Au programme cet après midi une bonne sieste et du repos.
Le soir, je mange léger avant de finir la soirée à discuter avec d’autres trekkeurs dans la seule pièce chaude disponible. Cette nuit, je dors dans la même chambre que les 2 espagnols Marc et Jordi pour réduire les coûts. Nous laissons les rideaux ouverts et pouvons voir parfaitement les étoiles dans un ciel sans pollution.
Nous avons eu un peu de mal chacun à trouver le sommeil, peut-être à cause de l’altitude et la sieste faite l’après-midi. Marc quant à lui a eu 2 heures dans la nuit avec des difficultés à respirer, obligé d’ouvrir la fenêtre pour prendre un peu d’air frais.
Certains locaux fument du baume de tigre. Oui, oui j’ai appris ça se matin et je n’imagine pas dans quel état ça les met. Encore une magnifique journée qui s’annonce avec un soleil au rendez-vous. Seulement 3 h de marche avant d’arriver à Thorung Phedi avec une montée progressive jusqu’à 4550 m. Ce ne sont pas les paysages que je préfère aujourd’hui parce qu’il y a beaucoup de terre et de roche, pas de végétation et la neige n’est pas encore sur le sol.
Depuis 2 jours je deviens addict au thé gingembre-citron-miel, très bon au niveau du goût, pour les bronches et la tête également. C’est donc avec plaisir en arrivant que j’en commande un après cet effort matinal. Notre famille de trekkers s’agrandit, je suis toujours avec Marc et Jordi les 2 espagnols, nous ont rejoint Gabriel un brésilien délirant et Irina, une française faisant le trek en solitaire.
Pas de wifi à partir de maintenant, pas de réseau non plus, pour la douche chaude ce n’est pas la peine d’y penser ! Les prix au restaurant sont similaires à ceux de Manang et Yak Kharka, il est donc toujours facile de faire une journée à moins de 20 €, vu que les chambres sont gratuites.
Je me sens bien, les jambes sont un peu fatiguées, mais les bâtons me permettent de plus solliciter mes bras et moins les jambes. Durant la montée j’ai eu un mal de tête comme à mon habitude, mais il s’est dissipé durant l’après midi.
Nous pouvions monter directement au High Camp, mais c’est un risque de passer une moins bonne nuit et d’attraper les symptomes du mal d’altitude, tout ça pour 1h de trek, ça ne vaut pas le coup ! J’ai déjà eu un échec en Bolivie avec l’ascension du Huayna Potosi, je veux avoir toutes les chances de mon côté.
La nuit fut compliquée… Je pense que l’altitude y est pour beaucoup, des difficultés à respirer qui m’auront empêché de dormir la plupart de la nuit. Levé à 4h45, un peu tardif comparé au reste des trekkeurs, mais ce n’est pas plus mal au vu du temps dehors… Il a beaucoup neigé cette nuit et cela continue ce matin. Avec mes chaussures trouées et mon bas non étanche, je ne suis pas emballé !
La bonne nouvelle est que je n’ai pas mal à la tête, autrement dit c’est un feu vert pour le trek d’aujourd’hui. Nous nous lançons après avoir déjeuné sur les coups de 6h motivés pour atteindre les 5400m ! Nous nous suivons à la trace, les espagnols, le brésilien et moi, avec un pas extrêmement lent pour s’arrêter le moins possible, reprendre son souffle correctement et ne pas accélérer les symptômes d’un quelconque mal d’altitude. Je n’ai jamais marché aussi lentement de ma vie…
900 m de dénivelé sur 5 km, nous prévoyons de le faire en 4h avec 2 arrêts, un au High Camp, un autre au Tea shop. 900 m en 4h00 ! Alors que 900 m sur du plat en basse altitude se font en 5 minutes, ça te laisse imaginer à quelle vitesse nous progressons ! Sur le dernier kilomètre, je me suis fréquemment arrêté, je n’en pouvais plus ! Du mal à reprendre ma respiration, un mal de tête grandissant et des douleurs d’estomac qui apparaissent…
Je suis si proche du col qu’il est impossible dans ma tête de faire demi-tour. Il s’est arrêté de neiger, j’ai chaud, j’enlève des couches, je repars. À chaque virage, j’espère voir le col, mais en vain. Je marche tête baissée, concentré sur mes pas, respirant comme un veau avec une démarche incertaine. J’avance d’une lenteur affligeante, heureusement les bâtons m’aident bien. Enfin c’était jusqu’à qu’ils cassent à quelques centaines de mètres de l’arrivée, génial…
J’entends des cris de joie, ça y ait je vois le col ! Motivation accrue, je pousse sur mes jambes et j’arrive enfin au sommet ! Pas très frais, mais tellement heureux d’être parvenu à bout de cette ascension avec mes amis !
Repos, on mange, on boit, prise de photos, on raconte chacun les difficultés qu’on a eues, c’est le meilleur moment ! Des Israéliens célèbrent en se baladant nue dans la neige, cela fait pour la plupart au moins 7 jours que le trek a commencé, je te laisse imaginer la satisfaction !
Aujourd’hui, c’est grasse matinée ! Gabriel le brésilien nous quitte, il a un avion dans quelques jours, il continuera en bus jusqu’à Kathmandu. Nous sommes maintenant donc 3, moi et les 2 espagnols et prenons 1h pour visiter les temples de Muktinath où beaucoup d’Hindous viennent se purger et prier.
Ensuite, c’est direction le village de Jomson à 20 km où nous descendrons en dessous des 3000 m. Bye bye les problèmes d’acclimatation et d’altitude ! Aujourd’hui, pas grand monde sur la route, je me demande bien où sont passés tous les trekkeurs. Nous quittons le village de Mulkinath avec ses petits stands d’écharpes, tissus et bijoux. Ici, le seul transport en commun est le cheval permettant aux moins sportifs de se déplacer plus rapidement. Le cadre est désertique, poussiéreux et lunaire.
Nous nous approchons petit à petit de la vallée et la rivière Kali Gandaki avec un vent de plus en plus fort. Nous avons commencé par suivre la route puis rejoint un chemin en terre afin d’esquiver le village Kagbeni et directement tomber sur Ekle Bhatti. Nous mangerons à ce village sur les coups de 13h juste avant de marcher face au vent violent.
La tête en bas pour ne pas prendre la poussière dans les yeux, nous longeons la rivière avec un chemin pas souvent évident. Les chevilles sont mises à rude épreuves avec des roches dans tous les sens. Nous arrivons vers 16h dans le village de Jomson, grand avec plein de petits commerces. Ce soir c’est eau chaude ! Ça faisait presque une semaine que j’en avais pas eue, quel plaisir !
Après un thé et un repas copieux, la gérante nous propose de goûter le Raksi. Un alcool de riz local. Pour être franc, le boire seul comme ça manque de goût pour moi, un peu comme de la vodka pure. Un digestif, je l’espère, idéal pour passer une nuit réparatrice.
Réveil à 7h00, aujourd’hui une grosse journée nous attend avec 25 km de marche jusqu’à Kalopani. Notre hôtel était sympa, mais la gérante pas très réglo nous fais payer les raksi pourtant offerts la veille, ma foi. Ce matin il fait beau, dans le ciel nous apercevons des petits avions manoeuvrés pour atterrir et décoller du minuscule aéroport de Jomson. C’est impressionnant et nous donne le sourire pour la journée.
Je suis toujours avec mes compères espagnols Marc & Jordi qui gardent la même motivation que moi pour bien finir ce circuit des Annapurnas. Nous privilégions le chemin de trail au lieu de la route, plus court et plus sympa.
Aujourd’hui ma douleur à la cheville gauche ressurgit vite, mais pas de quoi ralentir mon pas. Marc à son genou fragilisé par la descente jusqu’à Mulkinath il y a 2 jours, mais pour cette journée le chemin est principalement plat, parfait pour lui.
Ce matin, nous traversons quelques villages toujours aussi charmants, passons à travers des forêts, des cultures de pommiers et longeons cette fameuse rivière Kali Gandaki.
En ce mois de mai, elle est a un niveau assez bas, laissant place à des plages immenses de cailloux. Notre appétit se creuse, tandis que tout d’un coup nous entendons des tirs armés. Les détonations sont lointaines, mais constantes. Enfin, nous croisons des militaires, puis un camp d’entraînement.
Le chemin de trek longe ce camp étonnamment, nous nous faisons même stopper un instant par 2 militaires contactant leur supérieur afin sûrement d’arrêter les entraînements de tirs afin que l’on puisse passer sereinement. Rassurant ! À ce moment là, nous devons grimper durant 200 mètres avant de redescendre au niveau de la rivière, une petite difficulté qui va finir nos jambes pour la mâtinée.
Nous nous arrêtons au restaurant du village Sauru à midi où nous mangerons en quantité, mais pas en qualité. L’après midi se résume à un temps nuageux, mais pas pluvieux, la visite de quelques villages en pierre et un paysage identique à celui de la matinée. Nous arrivons à 15h les jambes en feu à Kalopani.
Aucune note, je pense que la journée m’avait achevé ! On est tombé sur un pont de singe dans un sale état à un moment, il me semble que c’était ce jour là, je te laisse juger par toi même sur la photo en dessous de Billy la chèvre !
Aucune note ce jour là également, j’ai le souvenir que c’était une difficile journée, car il y avait beaucoup d’ascension et les jambes fatiguées. Cependant, mes sensations étaient bien meilleures, car la cheville semblait moins mise à rude épreuve. C’est ce jour là il me semble où nous avions été amusés de voir des plantations de cannabis juste à côté d’un poste de police. Je me rappelle que le décors était encore une fois très agréable avec une vue dégagée sur les versants environnants et de superbes villages sur la route.
Nous avions galéré pour trouver un endroit pour se restaurer et c’est à moins d’une heure de marche de Gorephani que nous sommes tombés sur une bonne femme adorable tenant une guesthouse. Je ne me rappelle pas du nom de l’établissement, c’est bien dommage, car nous avions très bien mangé !
Arrivés à Gorephani, des hébergements partout, il y a l’embarras du choix pour des prestations très similaires pour la plupart. Idéal pour négocier à bon prix ! Douches chaudes et wifi disponible t’attendent.
Aucune note, je pensais surement qu’à une chose : Pokhara ! Je vais donc te raconter ça de mémoire 6 mois après :
On se lève très tôt le matin pour espérer voir le lever du soleil à Poon Hill. On n’est pas les seuls, car ce spot est très connu des touristes. La marche active nous réchauffe rapidement et après 45 minutes depuis Gorephani, nous arrivons en haut. Il fait très nuageux et malheureusement nous ne verrons pas grand chose. Seulement quelques instants, entre 2 nuages, on entrevoit la chaîne des Annapurnas, du Machapuchare et du Dhaulagiri, mince, c’est grand !
Puis, on retourne à l’auberge pour le petit-déjeuner avant d’entamer une descente interminable jusqu’à Nayapul. Nous prenons le temps de saluer les personnes que l’on croise on s’imaginant qu’elles commencent à peine leur tour des Annapurnas (mon côté sadique), puis mon sourire s’efface rapidement au rythme des porteurs que l’on croise.
Qu’est ce que j’ai mal au cœur quand je constate que les seuls locaux à ne pas répondre quand on leur dit Namasté (bonjour), sont les porteurs éreintés par leur travail. J’ai posé la question à certains pour savoir combien de kilos ils avaient dans le dos… 50 kg ! Tu m’étonnes que tu n’as pas envie de parler.
Revenons-en à nos moutons, durant la descente je me rappelle d’une séquence où les marches étaient en pierre pendant au moins une heure, c’était quelque chose pour nos jambes, mais maintenant que je viens de parler des porteurs, je ne peux me plaindre !
Arrivés à Nayapul, mes 2 amis espagnols et moi se félicite, tellement fiers de nous, de cette expérience incroyable que l’on a vécu ! On sait qu’on s’en souviendra toute notre vie et qu’on sera uni par ce trek à jamais.
Faut-il encore arriver en vie ! Le bus pour nous amener à Pokhara fait peine à voir, mais j’y ai pris l’habitude durant l’année et je m’inquiète guère. Je n’ai pas tendance à m’inquiéter d’ailleurs lorsque les routes sont sinueuses et proches d’un ravin, je me dis que le chauffeur est très expérimenté, j’ai confiance.
Grosse frayeur cependant quand… En pleine montée juste après un virage, nous sommes stoppés par un véhicule arrivant en face. Nous sommes obligés de reculer tout en tournant dans ce virage car sinon c’est le vide qui nous attend et je pourrais dire adieu à ce doux massage des jambes à Pokhara ! Le bus cale, fait des bruits étranges, au moment de repartir vers l’avant c’est la galère complète !
Nous sommes lourdement chargé et le véhicule semble à bout de souffle. Je te laisse imaginer la scène, je suis au fond du bus, entouré par mes 2 amis espagnols, on se regarde avec les yeux sortant des orbites, très inquiets. Mais c’est surtout quand tu regardes les locaux, les habitués, et que tu les vois changer de visage également, que tu te dis que ça sent le sapin. Heureusement grâce au professionnalisme de notre chauffeur, nous arriverons à se remettre en route, je n’ai plus qu’à essuyer les gouttes sur mon front.
C’est la fin de cette aventure qui sera le trek le plus mémorable de mon tour du monde, juste devant le Salkantay trek, au Pérou. J’ai enfin trouvé la combinaison parfaite entre les rencontres, le paysage, le sport et la découverte ! Ce sont plus de 230 km parcourus et autant de souvenirs gravés ! Bref j’espère que cet article te donnera toutes les informations que tu étais venu chercher, si ce n’est pas le cas, n’hésite pas à nous laisser un commentaire, c’est toujours un plaisir d’aider ou de partager !
En PLS toute la journée, j’emporte mes jambes avec moi en direction d’un centre de massage pour essayer de me faire pardonner.
Direction le parc national de Chitwan pour rencontrer un rhinocéros asiatique à une corne
Si à la suite de cette lecture, tu souhaites t’orienter sur un circuit entouré par un guide et un porteur, je t’oriente vers l’agence Terres du Népal. En effet, même si je recommande cette aventure sans guide, je peux concevoir que cela ne corresponde pas à tous le monde.
De plus, le fait d’avoir un guide francophone est un atout indéniable pour comprendre au mieux la culture locale. Ceux de l’agence Terres du Népal ont tous leur licence d’Etat permettant d’avoir une certaine sécurité et confiance lors de l’aventure.
Le gérant de l’agence, Laurent, vit au Népal depuis de nombreuses années avec cette approche du « tourisme équitable » ancrée et une envie forte de proposer des séjours éthiques et solidaires, c’est pourquoi j’ai souhaité les mettre en avant.
On a beau être affûté ou en pleine santé, faire son voyage a Népal sans assurance, c’est courir le risque de payer très cher en cas d’accident. Souscrire à une assurance avec une bonne couverture médicale peut t’économiser des centaines d’euros si un pépin arrive. Afin de partir en toute sécurité, je te recommande Chapka Assurance accessible depuis le lien en vert.
Assurez-vous de lire attentivement ce qui est inclus avant de passer à l'achat. Si vous êtes encore indécis, vous pouvez lire mon article sur la meilleure assurance voyage pour vous couvrir a Népal.
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Bonjour je voulais savoir à quelle période êtes vous partis ?
Anne-Laure
Bonjour Anne-Laure, en mai, période de pré-mousson 🙂
Parfait ce résumé !
J’ai aussi fait le Salkantay en février j’ai grave adoré d’où mon envie de faire le trek des Annapurna !
Ton résumé va bien m’aidé, des conseils sur les vêtements à prendre ? sachant que je vais le faire en février.
Perso j’ai acheté une gourde filtrante Lifestraw c’est la vie, et écolo en plus.
Merci !
Salut Dimitri ! Ah super ! Tour du monde ?
J’y étais en mai, période de pré-mousson, il faisait très doux, donc j’ai pas eu besoin de doudoune et gants. À voir avec le climat de février. Tu pourras trouver les vêtements chauds sur Kathmandu, il y a plein de magasins spécialisés et les prix sont bons.
Génial ça, il faudrait que je m’en procure une à l’occasion également.
Résumé super intéressant et excellent site aussi !
Je prévois faire le trek fin septembre et des amis qui ont fait le camp de base de l’Everest m’ont dit avoir utilisé un sac de couchage vu le manque de chauffage la nuit dans les Guest. Pour le Annapurna trail, tu recommandes quoi ? Sac de couchage, matelas de sol … ?
Merci !
Bonjour Alexis,
Sac de couchage oui je recommandes, ça caille pas mal à + de 4000 d’après mes souvenirs 🙂 matelas de sol est pas nécessaire si t’as prévu de dormir en homestay. Apres niveau vetements ça dépend des conditions climatiques du moment. Ne pas oublier des médocs pour traiter l’eau ou un filtre. Batons fortement recommandé aussi (surtout pour la partie enneigée)
Salut Florian
Merci pour ton partage, ça donne une idée plus précise du Trek.
J’envisage de faire le Trek fin octobre en solo. Est il possible de dormir sous tente? Ou est ce déconseillé ?
Je te remercie d’avance pour ta réponse ?
Salut Yasmina, j’ai vu un gars le faire une nuit, mais je suis pas assez renseigné pour te conseiller 🙂 J’espère que tu as trouvé les réponses à tes questions et te souhaite une belle aventure au Népal 🙂 ! N’hésite pas à nous faire un retour d’expérience après le trek !
salut Florian,
j’envisage de m’aventurer sur ce trek en avril prochain à ton avis quel est le minimum d’équipement indispensable et est-ce que tu as croise des seniors (+ 65) merci et bravo pour ton site
Salut Ben, merci !
Le minimum (j’insiste sur le mot minimum) est d’après moi en Avril :
– Sac de couchage
– Chaussures de randonnées
– Pantalon + Short
– Tee-shirt + Manche longue + Veste/Doudoune pour températures de 0-5°C
– Carte ou smartphone + application Maps.me
– Filtre à eau ou pilules de purification
Difficile à dire concernant les seniors. + de 50 ans certainement, + de 65 ans c’est pas sûr que j’en ai croisé. Je pense qu’une personne senior en très bonne forme physique peut tout à fait faire le circuit.
Euh… J’ai moi même 63 ans et mon mari bientôt 72… Nous avons fait beaucoup de treks un peu partout dans le monde, le Salcantay au Pérou y compris d’ailleurs… Je vais refaire le Tour des Annapurnas en novembre et mon mari vient de grimper le Mera Peak dans le Khumbu.
Je précise qu’aucun de nous n’est alpiniste.
Il paraît même que l’adaptation à la haute altitude est facilitée avec l’âge…
Bonjour,
On compte aussi faire ce trek en avril mai 2020.
N’ayant pas encore d’équipements pour les basses température devons nous vraiment investir dans des vestes polaires et sac de couchage-10 ou-20 degrés ?
Est ce que les logements sont tjs chauffés ?
Quid du balisage qd il neige. Est ce vraiment faisable sans guide ?
Merci
Salut Nicolas,
D’après moi il faut avoir au moins une veste/doudoune et un sac de couchage pour supporter des temperatures allant à -10 deg, cela servira principalement au dessus de 4500m, car les logements ne sont pas forcément chauffés.
C’est largement faisable sans guide, de nombreuses personnes commencent le trek chaque jour sans guide. Cela sera d’autant plus rassurant si vous avez votre telephone utilisable et l’application Maps.me. Au niveau du balisage, de memoire il n’est pas au sol mais avec des panneaux, pas forcément de façon régulière, mais vous aurez toujours une personne locale ou un trekker dans un rayon de 500m au cas où vous êtes perdu.
Bonne journée,
Bonjour
Mon fils est parti faire le tour des anapurnas avec sa copine en solo. On les suivait sur polarsteps. Depuis le 19 mars où ils étaient à Manang et le 22 dernier message on n a pas de nouvelles . Faut il s inquieter sachant que pour faire upper pisang manang ils ont mis 8h. Le souci est qu il n y a rien d ouvert pour se restaurer. Ils voulaient s arrêter à braka mais tout était fermé.
Leur portable bip toujours sur manang je pense qu ils n ont plus de réseau .
Qui faut il prévenir?
Merci pour votre réponse
Une maman inquiète
Bonjour Martine, j’espère que vous avez des nouvelles de votre fils depuis, il est frequent de ne pas avoir de réseaux dans certains villages. Si vous n’avez toujours pas de nouvelles, essayez de contacter l’ambassade.
Bonjour Florian,
Merci pour ce récit détaillé et plein de de conseils utiles !
Une question concernant les hébergements : d’après ce que je lis, tu n’avais pas réservé à l’avance, et la recherche se faisait au jour le jour ? Y a-t-il un risque de se retrouver sans hébergement, si tout a déjà été réservé par exemple par des groupes avec guides ?
D’ailleurs, existe-t-il seulement un système de réservation ?
Nous envisagerions de nous y rendre à 2 en octobre/ novembre…
Merci !
Salut Gwen, la recherche se faisait au jour le jour oui et ne prenait pas bien plus de 10/15 minutes, le temps de visiter et comparer 2/3 guesthouses. Je ne l’ai pas effectué en octobre/novembre (en mai), donc difficile de te certifier à 100% que tu trouves un hébérgement au jour même, mais dans chaque village ce n’est pas les guesthouses qui manquent donc je ne pense pas que ce soit un problème de trouver le jour même, d’autant plus avec le contexte sanitaire international, le tourisme va repartir très lentement. J’imagine que quelques guesthouses ont un site internet, mais pour la plupart, je ne pense pas qu’ils ont de système de réservation en ligne, au vu des habitations dans lesquels on logeait. Concernant les groupes avec guides toutes les nuitées sont déjà pré-réservées à l’avance j’imagine.
Bonne journée,
Florian
Bonjour Florian, je compte faire ce tour fin mars et te remercie pour la qualité de tes infos.
Combien de jours total a duré ton trek?
En jour 1 tu pars en bus de Katmandou mais tu dis que les bus partent à 7H et vu les heures d’arrivée as tu passé une 1ère nuit à Katmandou ?
Le jour 15 tu es à Pokhara, donc le jour 16 es tu de retour à Katmandou ?
En bus?
As tu repassé une nuit à Katmandou ?
Au total, entre ton jour de départ en France,(si tu pars de France) et ton départ de Katmandou combien de jour s’est-il passé ?
En te remerciant à l’avance de tes précieuses explications.
Christophe
Bonjour Christophe, 14 jours. J’avais passé quelques nuits à Katmandou avant oui. Le jour 16 je suis allé à Chitwan pour découvrir leur parc national (https://weareworldtrippers.com/que-faire-a-chitwan). J’étais à Myanmar avant ça et j’ai du rester environ 3 semaines/21 jours au Népal. Bonne journée et bonne préparation!
Merci de tes infos.
Est-ce facile de se repérer entre les étapes ou bien est-ce un peu compliqué ?
Tu parle de Google maps à télécharger mais y’a t’il du réseau un peu partout?
Bonnes fêtes de fin d’année 😊
C’est plutôt facile de mémoire, beaucoup de signalisations. Avec l’application Maps.me ou Google Maps on peut télécharger une section de la carte au préalable, afin d’avoir la carte affichée et utilisable même sans réseau internet 🙂 Excellentes fêtes !
Florian, te serait-il possible de m’envoyer par mail ton graphique vert car il est très interessant mais quand je l’ouvre sur mon ordi c’est quasi illisible car trop petit?
Si oui voici mon mail: christophedelacour27@gmail.com
D’avance merci 😉
Salut Christophe, voici l’url de l’image dans sa taille maximum : https://wawt.s3.amazonaws.com/wp-content/uploads/2018/11/annapurna_profil.jpg. Bonne semaine !
Bonjour Florian,
Je compte faire ce trek pour mes 60 ans au Printemps 2022 avec ami qui m’a souvent accompagné en montagne (Alpes). J’ai cru comprendre qu’à partir de Jomson la descente se fait dans des paysages et conditions de marche pas forcément top. Est-ce que tu confirmes que la première partie jusqu’au Thorung Pass est beaucoup plus intéressante? Auquel cas on envisagerait un retour en bus jusqu’à Pokhara pour y passer quelques jours. Merci par avance. Dominique
Bonjour Dominique, c’est une section que j’ai bien appréciée où les paysages et conditions n’étaient pas désagréables et plutôt complémentaires à la palette de diversité qu’offre ce circuit des Annapurnas, mais cela reste totalement subjectif.
En espérant que vous récupérez suffisamment d’avis et retours d’expérience pour votre préparation. Excellentes fêtes !
Bonjour Florian
Je projette ce treck pour septembre.
Je suis très senior (73ans) et atteinte de myopathie mais je gère.
Je gère d’autant plus que je suis seule…
Un couple d’amis qui a fait ce treck ont un avis différent sur la nécessité de duvet : lui, inutile il y a des tonnes de couverture s dans les lodges, elle on était parti avec un duvet light, il fait moins 10 dans les lodges, la prochaine fois je prends un bon duvet et un porteur.
Le problème c’est que le porteur va transporter le sac d’un endroit à l’autre, et donc out ma liberté…
Votre avis ?
P.S. j’ai fait le Salkantay trail avec une agence locale, c’était un peu folklo mais très très bien.
J’ai l’habitude d’Osmand + mais je voyage essentiellement en vélo, croyez-vous que je puisse me débrouiller avec Osmand ? Ou maps.me est-il vraiment mieux compte-tenu de mon grand âge à chaque fois c’est difficile 😉
Merci de votre retour
Françoise
Bonjour Françoise, désolé pour la réponse très tardive. De mon souvenir de mai 2018, j’avais eu besoin de mon duvet seulement une nuit, celle avant l’ascension à 5400 mètres. Il est possible que les logements sont désormais un peu plus confortables, ou que la période à laquelle vous y allez soit plus douce. Je pense qu’il est préférable de partir avec un duvet light et si besoin demander une couverture en supplément au sein de la guesthouse. Difficile pour moi de vous assurer que toutes les guesthouses possèdent des couvertures suffisantes.
Je n’ai jamais utilisé Osmand, cependant je peux vous affirmer de la facilité d’utilisation de maps.me, ergonomique avec peu d’options afin de rester assez simple.
En espérant que vous ayez trouvé vos réponses avant la mienne. Merci pour l’inspiration que vous me donnez à travers votre message et je vous souhaite de réaliser ce beau voyage.
Florian
Bonjour
Merci d’avoir partage ton expérience. Je suis intéressé par le tour des Annapurna, malgré mon expérience des voyages,je ne sais toujours pas faire des bagages. Est il possible de laisser des affaires au départ et les récupérer ensuite. Ou est-ce judicieux de prendre un porteur,qui me servira aussi de guide… Apparemment on trouve facilement son chemin. Donc je sais pas trop…
Salut Ahmed, il est souvent possible de t’arranger avec ton hébergement à Kathmandu/Pokhara pour laisser des affaires dans une pièce prévue à cet effet, moyennant une petite somme. Puis récupérer ces affaires au retour du trek. En demandant avant de réserver la/les nuitée(s) s’il est bien possible de pouvoir laisser ses affaires, cela évite une mauvaise surprise.
Bonjour à tous, merci pour vos récits, très utiles et inspirants !
Nous partons à trois faire la partie sud du tour des Annapurnas + la variante du sanctuaire, en 12-15 jours dans la période mi-avril / mi-mai 2024.
Ma question : savez-vous si un guide est maintenant obligatoire sur ces circuits ? Je n’ai pas encore trouvé de réponse précise.
Merci d’avance,
Bruno
Bonjour, vous souvenez vous où il est possible de prendre le bus pour retourner à Nayapul ou pokhara?
NOus souhaiterions faire un allé jusque jomsom (mais peut etre s’arreter avant) et faire le chemin du retour en bus ou avion.
Merci!